Un crédit se rembourse sur une courte ou longue durée. Ce sont des périodes pendant lesquelles on ne peut pas prédire ce qui peut arriver ni sur la santé de l’emprunteur ni sa capacité à produire financièrement. Des situations suspendant son pouvoir de rembourser ses mensualités. Mais dans quel cas est-ce acceptable par la banque et quelles en seraient les conséquences?
Premier cas : Perturbation de la situation financière
Sur 10 ans, moins ou plus, la vie n’octroie pas à tout le monde une chance d’une stabilité financière. Des éventualités comme une perte d’emploi ou une baisse de revenu peuvent survenir à tout moment. D’autres sont même pires à savoir l’incapacité totale ou partielle par suite à un accident ou une maladie.
Ce sont des situations qui touchent directement le reste à vivre de l’emprunteur et diminuent ou suspendent même son remboursement. Pour comprendre vos droits en ligne vaut mieux visiter organisme-de-crédit.org.
Une suspension est alors possible mais sous certaines conditions. En effet, l’emprunteur n’est couvert que par l’assurance à laquelle il s’est souscrit pendant la période de constitution de dossier. L’assureur dans ce cadre verse une partie des mensualités à l’organisme et l’emprunteur comble le reste.
Deuxième cas : Contrat stipulant une clause de report d’échéance
Tout d’abord, une vérification de l’organisme s’impose, car certaines ne donnent pas une occasion de report d’échéance. Comprendre leur fonctionnement est impératif, pour cela visiter organisme-de-crédit.org reste toujours une meilleure alternative au préalable.
C’est une modalité qui consiste à reporter les paiements des échéances pendant la période de remboursement mais non au début ou pendant la période de rétractation de 14 jours. Dans ces premiers délais, on ne parle pas de suspension mais d’un arrêt de crédit à la consommation ou immobilier.
Première conséquence : une rallonge de la durée de remboursement
Une fois que les deux parties à savoir l’organisme de crédit et l’emprunteur ont compris la présence d’une clause de contrat sur la possibilité de report d’échéance, on l’active. Le report d’une durée déterminée ou dite partielle sera ajouté à la fin du crédit. S’il le report dure par exemple 6 mois, c’est exactement la période de rallonge à la fin du crédit.
Le banquier constitue un avenant au prêt initial définissant les nouvelles conditions de remboursement. Un nouveau calendrier d’amortissement sera alors mis à disposition de l’emprunteur.
Apparemment, cela est reste gratuit mais une rallonge de la durée de remboursement se traduit par un total de taux d’intérêt et du montant assurance augmentée. Une fois de plus, se confier à un organisme fiable et transparent est obligatoire, des instructions qui seront claires si on décide de visiter organisme-de-crédit.org.
Deuxième conséquence : remboursement normal dès l’arrêt de la suspension
Il est plus logique qu’une fois que le délai de suspension est terminé, l’emprunteur est obligé de rétablir sa situation financière et de payer normalement ses mensualités. C’est un cas difficile, car on ne peut prédire le moment auquel on sera réembauché dans le cadre d’une perte d’emploi ou on trouvera un autre plus rentable. Se faire accompagner dans la décision de la durée de report est ainsi conseillé d’où la nécessité de visiter organisme-de-crédit.org.